Archives par mot-clé : écrivain

Bestiaire médiéval fantastique audio : trois nains et un elfe

N_lettrine_moyen_age_passionous poursuivons notre bestiaire médiéval fantastique audio avec aujourd’hui  l’histoire de trois nains et un elfe dans la forêt. Nous en profitons pour aborder la légendaire entente entre ses deux peuples, qui, à part la bipédie, n’ont finalement pas grand chose d’autre en commun, les uns vivant sous terre et creusant des mines, les autres, amants de la nature et des arbres, et vivant dans les forêts.

Que les puristes, fans de Tolkien, ne nous en veulent pas, si nous neelrond_bestiaire_medieval_fantatisque_elfe_nains_tolkien l’étions pas nous-même, nous ne commettrions sans doute pas ces petites histoires drôles et ces blagues sur cet univers médiéval fantastique.

D’ailleurs, puisque j’y suis,  j’en profite pour ajouter, pour ceux qui ne connaissent le Seigneur des Anneaux  que par le cinéma, que si vous ne l’avez pas déjà fait, je vous encourage franchement à lire les livres. L’écriture de JRR Tolkien est une merveille et vous y trouverez des détails et bien des choses que les films de Peter Jackson (LOTR), si réussis et si respectueux de l’oeuvre du grand écrivain anglais, soient-ils, n’ont pas pu aborder. Voila il fallait quand même que cela soit dit! Saperlipopette!

Fred
pour moyenagepassion.com

Citation médiévale, poésie médiévale, Rutebeuf

L’ETAT DU MONDE, Rutebeuf

« Parce que le monde change
Plus souvent qu’un denier au Change,
Je veux rimer sur ce monde changeant.
L’été est passé, maintenant c’est l’hiver ;
Le monde était bon, maintenant c’est différent,
Car personne ne sait plus
Travailler au bien d’autrui,
S’il ne pense pas y trouver son profit. »

Citation et poésie médiévales pour moyenagepassion.com

Je vous partage ci dessus, la première strophe d’un poème célèbre de Rutebeuf, écrivain, trouvère satyrique du XIIIe siècle. Après sept cent ans, le texte reste d’actualité et l’on est même surpris en songeant que le  XIIIe, siècle encore profondément chrétien, voyait se répandre de plus en plus les ordres mendiants.