« A trop parler, on avilit les mots »
Une citation médiévale de Alphonse X de Castille,
Roi, poète, érudit du XIIIe siècle (1221-1284), moyen-âge central.
Version originale espagnole:
« El mucho hablar hace envilecer las palabras »
Bon du coup, rien à ajouter on va dire et c’est déjà presque trop. :p
Sujet : musique, danse médiévale, danse, ductia, musique ancienne, cour d’Espagne. Période : XIIIe siècle, Moyen Âge central Auteur : Alphonse X de Castille Interprète : Jordi Savall, Hesperion XXI Titre: Cantiga Santa Maria 248 Album : « Orient – Occident » Editeur : Alia Vox (2006)
Bonjour à tous,
ous vous proposons un peu de musique, à nouveau aujourd’hui, avec le groupe Hespérion XXI et le grand musicien de talent qui le mène et l’inspire: Jordi Savall.
Nous avions déjà présenté une autre version de cette Ductia 248, danse médiévale de cour, tirée des Cantigas de Santa Maria, et des œuvres du roi poète, érudit Alphonse X de Castille, encore connu sous le nom d’Alphonse le Sage ou même Alphonse le Savant.
Cette fois-ci, Jordi Savall et sa formation reviennent sur le même morceau dans le cadre de l’album Orient – Occident. Face à la première version plus minimaliste que l’on peut retrouver sur l’album La Lira D’esperia II, ils nous présentent, cette fois, une pièce largement plus orchestrée, sur un tempo plus soutenu aussi.
‘Les cruches plus elles sont vides, plus elles font du bruit. »
Une citation médiévale d’Alphonse X, roi de Castille, dit le sage. érudit, scientifique et lettré du moyen-âge central (1221-1284)
Version originale de cette citation pleine d’esprit et d’humour du XIIIe siècle : «Los cántaros cuanto más vacíos, más ruido hacen»
n l’espèce et pour le clarifier, je ne pense pas qu’il faille limiter ici le mot « cruche » à la gente féminine comme nous le faisons souvent en français dans son sens figuré. Élargissons donc, le prix restera le même et nous n’avons rien à y perdre!
Une très belle semaine de rentrée à tous!
Fred
Pour moyenagepassion.com « L’ardente passion, que nul frein ne retient, poursuit ce qu’elle veut et non ce qui convient. »Publiliue Syrus Ier s. av. J.-C