Sujet ; combat médiéval, béhourd, reconstitution historique, armes, armures anciennes, art martial, tournoi, marché, animation médiévales Nom: Tournoi International des Flandres Lieu : Tourcoing (Nord) Dates : samedi 4 & dimanche 5 nov 2017
Bonjour à tous,
ous avions dédié un article à cet événement l’année dernière et, ce week end, Le Tournoi International des Flandres, accompagné de son marché médiéval, est de retour à Tourcoing. Comme l’année précédente et pour cette seconde édition, c’est encore Sylvain Lienard,alias Tape-Dur et son équipe les combattants de Béhourd duNord Médiéval Full Contact (NMFC) qui en sont à l’initiative et qui se chargent de son organisation.
Petit rappel sur le béhourd
Pour rappel, concernant cette discipline martial d’inspiration médiévale, le Béhourd consiste, pour ses pratiquants, à s’affronter en individuel, en équipe ou en mêlée, vêtus d’armures scrupuleusement reconstituées et munis d’armes anciennes, le tout émoussé pour ne pas offrir de tranchant ou de « perçant ». Même si ça n’est pas tout à fait aussi tranquille que du Badminton, la discipline reste très encadrée et il ne s’agit pas de s’écharper non plus; la victoire se tient dans la charge, la percussion, la capacité à maintenir l’équilibre, et encore une bonne dose de stratégie. (consultez plus d’articles sur le Béhourd).
Le Tournoi des Flandres
et le Nord Médiéval Full Contact
Dans le paysage du Béhourd français, en plus d’être à l’initiative et l’organisation de ce Tournoi des Flandres, les combattants du Nord Médiéval Full Contact ont déjà largement démontré, par leurs performances, qu’ils étaient parmi ceux sur lesquels il faut compter. D’ailleurs, huit d’entre eux ont été sélectionnés cette année pour représenter la discipline et la France, à l’occasion des championnats du monde de la discipline au Danemark.
Ce week end, à Tourcoing pour ce grand tournoi qui clôt la saison de Béhourd, plus de 135 combattants sont attendus et des équipes en provenance de cinq autres nations. Même s’il reste encore peu connu, le sport bénéficie d’une médiatisation croissante et quelques deux milles visiteurs avaient assisté à l’événement, l’année dernière. Pour cette édition 2017, on espère bien du côté des organisateurs égaler et même dépasser cette fréquentation. Les hommes du Nord Médiéval Full Contactont, cela dit, de quoi être optimistes puisque par la qualité des combats présentés mais aussi des animations médiévales proposées et notamment de son marché, ce Tournoi des Flandresa été reconnu par les instances représentatives de la discipline comme l’un des plus beaux tournois de Béhourd en France. Nous leur souhaitons de notre côté une très belle réussite !
Sujet : troubadours, langue d’oc, poésie, chanson et musique médiévale, fine amour, amour courtois. ethnomusicologie. Période : moyen-âge central, XIIe siècle Auteur : Marcabru (1110-1150) Titre : « Bel m’es quan son li fruich madur » Interprète : Ensemble FLOR ENVERSA
Bonjour à tous,
ous revenons aujourd’hui sur la poésie médiévale et bucolique du Troubadour Marcabru (Marcabrun) avec une très belle interprétation de sa chanson « Bel m’es quan son li fruich madur », (J’aime quand les fruits sont mûrs) par l’ensemble médiéval FLOR ENVERSA que cet article va nous donner également la joie de vous présenter.
Trobar clus : la poésie hermétique et allégorique de Marcabru
Marcabru fait partie des trobar clus, autrement dit de ces troubadours qui pratiquent une poésie « fermée », soit relativement hermétique. On lui prête d’ailleurs souvent d’en être le chef de file. En opposition aux trobar leu ou au trobar ric qui sont dans une recherche stylistique mais dont les textes demeurent plus accessibles, Marcabru fait naître des images poétiques et allégoriques, use encore d’allusions qui ne se livrent pas toujours facilement à la compréhension. Avec le recul du temps et la barrière de la langue, les choses se compliquent encore un peu plus, mais il n’est pas question pour autant de se priver d’approcher ce grand artiste et auteur du XIIe siècle.
Dans la poésie du jour, le troubadour nous parle de Fine Amor, autrement dit du bel amour courtois qui anoblit et élève et qu’il oppose aux pratiques des « amants perfides » et « trompeurs », qui l’avilissent et l’abaissent, même s’il en faudrait bien plus pour ternir l’Amour véritable dont la valeur est si grande qu’il n’a ni fin, ni commencement et ne se laisse entâcher. Et comme dans de nombreux autres de ses textes, la nature vient servir de support à notre poète médiéval pour conter à la fois ses états d’âme mais aussi pour lui permettre d’illustrer son propos de manière allégorique. C’est un procédé que l’on rencontrera souvent, après lui, dans la poésie médiévale.
« Bel m’es quan son li fruich madur » par l’Ensemble Flor Enversa
FLOR ENVERSA, une formation médiévale
à la découverte de l’art des Troubadours
Fondé dans le courant de l’année 2006 par le chanteur, conteur et musicien Thierry Cornillon et la chanteuse, vieilliste, violoniste, flûtiste, Domitille Vigneron, l’ensemble FLOR ENVERSA s’est donné pour vocation de faire revivre et redécouvrir le répertoire des troubadours occitans des XIIe et XIIIe siècles.
La démarche artistique de la formation est soutenue par un sérieux travail de recherche en amont, dans les sources manuscrites, documentaires et graphiques en provenance du moyen-âge central, et l’ambition avouée des deux artistes est de se situer au plus près de cette tradition et cet art musical et poétique médiéval. Dans le même ordre d’idée, ils se sont penchés sur les instruments anciens et font même des recherches en archéo-lutherie pour les recréer. Inutile, bien entendu, d’ajouter que la langue chantée est aussi au plus près des manuscrits, mais faisons le tout de même. En un mot, nous sommes là face à un travail exigent de restitution qui se situe autant du côté artistique que du côté de l’ethnomusicologie.
A ce jour, FLOR ENVERSA a produit 4 albums sur leur thème de prédilection en s’entourant de collaborations diverses. En l’occurrence sur le morceau présenté aujourd’hui, les deux fondateurs de l’ensemble sont accompagnés d’Olivier Féraud. Pour dire un mot de cet autre Artiste, il est musicien et luthier spécialiste de la période médiévale, mais pas seulement, il est aussi docteur en anthropologie sociale et ethnologie, et membre de la Société Française d’Ethnomusicologie (voir profil détaillé d’Olivier Féraud). Outre nous fournir le plaisir de le mentionner ici, tout cela démontre, encore une fois, de tout le sérieux et de la rigueur que cet ensemble peut investir dans son approche de l’art des troubadours.
Fondateurs d’un festival sur ce même thème, le festival TROBAREAqui se donne en août, en Provence et à Vence et qui présentait cette année sa 3e édition, les deux artistes ont aussi eu l’occasion d’intervenir, à plusieurs reprises, dans des colloques pointus sur ce sujet qu’ils maîtrisent bien. Ils organisent d’ailleurs des stages sur la question faisant intervenir des contenus aussi divers que les sources manuscrites, l’archéo-lutherie, la découverte des modes de jeux et l’improvisation, mais aussi et bien sûr la langue d’Oc.
Notons encore que ces artistes passionnés qui ont à coeur la culture, la langue, la tradition orale, la musique, et, au sens large, les arts de leur belle Provence à travers le temps, ne se limitent pas au monde médiéval. Ils ont, en effet, crée également BLANCAFLOR un ensemble dédié aux musiques de la renaissance en langue d’oc, et SIRIGAUDA, une troisième formation qui se propose de faire découvrir les chants et les danses traditionnels de la Provence alpine.
Quoiqu’il en soit et pour en revenir au sujet du jour, si vous aimez l’art médiéval unique des troubadours des XIIe et XIIe siècles et leur langue d’Oc aux accents chantants, ou si vous êtes même simplement curieux de les découvrir, vous apprécierez, sans nul doute, le travail artistique de Thierry Cornillon, Domitille Vigneron et de leur formation FLOR ENVERSA.
Pour plus d’informations les concernant, ainsi que sur leur actualité, n’hésitez pas à consulter leur site web très complet : flor-enversa.com
Bel m’es quan son li fruich madur
Paroles et approche de traduction
La traduction que nous vous livrons ici est tirée des oeuvres complètes de Marcabru, annotées et traduites par le Docteur Jean-Marie Lucien Dejeanne (1842-1909) qui écrivit aussi sous le pseudonyme de Nabaillet. Historien local, romaniste et spécialiste de littérature gasconne, l’homme était également médecin et maire de la commune de Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées).
L’ouvrage fut publié, en 1909, à titre posthume et l’auteur lui-même ne considérait pas l’édition comme définitive. Il l’avait, en effet, engagé avec l’intention de proposer une première classification de la poésie du troubadour médiéval et concernant la traduction qu’il en fit, il entendait ouvrir des pistes pour la compréhension, « aiguillonner » même pourra-t-on lire en préface de son livre, plus qu’il ne prétendait l’épuiser totalement. De son propre avis, cette dernière n’a donc pas la prétention de la perfection.
Pour en dire encore un mot, elle est littérale, parfois intuitive, souvent assurée (peut-être trop de l’avis même encore du bon docteur lui-même). Elle ne cherche en tout cas pas l’adaptation en vers. Bien évidemment, dans le texte français, la poésie de Marcabru se dilue totalement, mais il y a toujours trois choix face à une poésie et quelque soit sa langue : la traduire et tenter d’en approcher le sens, ne pas la traduire et simplement laisser les lecteurs goûter à sa musicalité, en espérant qu’elle leur suffise et enfin l’adapter en vers et se distancier définitivement de la langue originale. Quand on aime la poésie autant que les langues, une traduction littérale même imparfaite, même si, encore une fois, elle ne peut rendre totalement justice à la beauté poétique du texte originel, demeure tout de même utile à plus d’un égard; elle n’empêche pas, par ailleurs et après coup de revenir vers le texte source pour mieux l’apprécier. Nous faisons donc le choix volontaire et assumée de la publier ici, dusse-t-elle laisser en suspens quelques interrogations.
I
Bel m’es quan son li fruich madur E reverdejon li gaïm, E l’auzeill, per lo temps escur, Baisson de lor votz lo refrim, Tant redopton la tenebror; E mos coratges s’enansa, Qu’ieu chant per joi de fin’ Amor E vei ma bon’ esperansa.
J’aime quand les fruits sont mûrs et que reverdissent les regains, et quand les oiseaux, par le temps obscur, baissent le ramage de leur voix, tant ils redoutent les ténèbres; Et mon coeur est transporté, Car je chante par joie le fine Amour et je vois ma bonne espérance.
II
Fais amie, amador tafur, Baisson Amor e levo·l crim, E no·us cuidetz c’Amors pejur, G’atrestant val cum fetz al prim Totz temps fon de fina color, Et ancse d’una semblansa; Nuills hom non sap de sa valor La fin ni la comensansa.
Faux amis, amants perfides rabaissent Amour et relèvent le crime; et ne vous imaginez pas qu’Amour soit devenu pire (en soit entaché), car il vaut autant qu’aux premiers jours toujours il fut de pure couleur et d’une même apparence; nul homme ne sait de sa valeur [de son pouvoir] la fin ni le commencement.
III
Qui·s vol si creza fol agur, Sol Dieus mi gart de revolim Qu’en aital Amor m’aventur On non a engan ni refrim Qu estiu et invern e pascor Estau en grand alegransa, Et estaria en major Ab un pauc de seguransa.
Croira qui voudra les folles augures Dieu seul me garde de changer car je m’aventure en un Amour sans trouble, ni tromperie En été comme hiver et pâques [printemps], je suis en grande allégresse et je l’aurais encore plus grande avec un peu plus de certitude (sécurité).
IV
Ja non creirai, qui que m’o jur, Que vins non iesca de razim, Et hom per Amor no meillur C’anc un pejurar non auzim, Qu’ieu vaill lo mais per la meillor, Empero sivm n’ai doptansa, Qu’ieu no’m n’aus vanar, de paor De so don ai m’esperansa.
Jamais je ne croirai, quiconque me le jure, que le vin ne sorte pas du raisin Et que l’homme par Amour ne soit pas rendu meilleur, car jamais nous n’avons appris qu’un seul en soit devenu pire, cependant j’ai de l’incertitude, Au point que je n’ose m’en vanter, par peur de ce qui est l’objet de mon espérance. (de perdre)
V
Greu er ja que fols desnatur, Et a follejar non recim E folla que no’is desmesur; E mais albres de mal noirim, De mala brancha mala flor E fruitz de mala pesansa Revert al mal outra’l pejor, Lai on Jois non a sobransa.
Il sera certes difficile que le fou se dénature et ne recommence pas à faire des folies, et que folle (folie?) soit sans démesure mauvais arbre vient de mauvaise nourriture, de mauvaise branche, mauvaise fleur, et fruit de mauvaise pensée retourne au mal, sinon au pire, là où Joie n’est pas souveraine.
VI
Que l’Amistat[s] d’estraing atur Falsa del lignage Caïm Que met los sieus a mal ahur, Car non tem anta ni blastim, Los trai d’amar ab sa doussor, Met lo fol en tal erransa Qu’el non remanria ab lor Qui·l donava[n] tota Fransa.
L’amitié perverse aux étranges attachements des descendants de Caïn les entraîne dans le malheur, car elle ne craint honte ni blâme, les empêche d’aimer par sa douceur ( les éloigne de l’Amour vrai); elle met le:fou en telle erreur (errance ? perplexité) qu’il ne resterait plus avec ceux (qu’ils ne s’y résigneraient même pas) même si on leur donnait la France entière (?)
En vous souhaitant une merveilleuse journée.
Frédéric EFFE.
Pour moyenagepassion.com A la découverte du moyen-âge sous toutes ses formes.
Sujet : agenda médiéval, fêtes historiques, animations, tournoi chevalerie, compagnies médiévales, Période : moyen-âge tardif, XVe siècle Evénement : Les Médiévales d’Asnière sur Oise et Luzarches Lieu : Luzarches, Val d’Oise, Ile de France Date : les 14 et 15 octobre 2017
Bonjour à tous,
our ceux qui se tiendront en Ile de France, ce week end, voici un événement médiéval intéressant à plus d’un titre. Tout d’abord pour sa programmation et les animations qu’il propose, mais aussi parce qu’il est le fruit d’une collaboration originale entre deux municipalités attenantes du Val d’Oise. Les villes d’Asnières sur Oiseet Luzarches ont, en effet, décidé d’organiser leur Médiévale annuelle de manière alternée.; les années paires, les célébrations auront lieu sur les terres de Asnières-sur-Oise, les années impaires sur celle de Luzarches. Cette année, c’est donc au tour de cette dernière municipalité des les héberger.
Cette fête médiévale couvrira deux jours plein, le samedi et le dimanche, pour donner la mesure de leur succès, on y attend entre 15 000 et 25 000 visiteurs. L’édition 2016 qui était la 12e et se tenait donc à Asnière/Oise nous a gratifié de très belles photos qui donnent bien la mesure de l’ampleur et de la qualité de ces réjouissances autour du moyen-âge. Nous en partageons quelques unes ici pour vous mettre l’eau à la bouche mais vous pourrez en retrouvez plus sur la très active Page Facebook Luzarches J’aime.
Le programme des Médiévales d’Asnière/Luzarches
arché médiéval, tournois et spectacles équestres, combats et escrime ancienne, démonstration de vols de rapaces et fauconnerie, danses et musiques médiévales, cracheurs de feu, contes pour enfants, jeux et camps d’entraînement, il y aura également des ateliers pour découvrir la cuisine, l’art de la calligraphie, mais encore le travail du bois, du cuir et de la laine aux temps médiévaux.
Compagnies médiévales, artistes, et associations présentes
Cie Equistoria – Cie La Mesnie de Minn-Wulf – Cie Joueurs nés – Les derniers trouvères – L’Harmonie de Luzarches – Monseigneur le Gueux – Cie Semper Fidelis – Cie Animal & Co, fauconnerie –
La fête sera encore l’occasion de mieux découvrir l’histoire du château de la motte et notamment sa motte féodale et castrale de l’an mil.
Sujet : fêtes, animations médiévales, sorties historiques, moyen-âge, troubadours, compagnies médiévales Période : du milieu du XIIIe au XIVe Evénement : Les Trobades médiévales de Perpignan 2017 Lieu : Perpignan (Pyrénées-Orientales, Occitanie) Date : les 14 et 15 octobre 2017
Bonjour à tous,
ous avions dédié un long article à l’édition précédente de ces célébrations médiévales et voilà qu’elles sont de retour. Comme chaque année, cette fin de semaine, la cité de Perpignan fête ses trobades.
Organisée par l’office du tourisme de Perpignan, cette grande fête autour du moyen-âge s’affirme, d’année en année, comme un véritable succès. Ainsi, pour cette édition, on attend plus de 250 reconstituteurs pour célébrer une période qui se situera entre le milieu XIIIe et le XIVe siècle, au temps où Perpignya la Catalana était encore la capitale continentale du Royaume de Majorque.
Alors à la main de Jacques II, troisième fils du roi d’Aragon Jacques 1er le Conquérant, la cité connaissait de grandes heures. Florissante, on y édifiait de nouveaux remparts, ainsi qu’un palais royal et on y lançait encore les travaux de sa cathédrale. Comme nous avions déjà largement abordé ces questions, nous vous renvoyons à notre article précédent pour en savoir plus sur l’Histoire médiévale de Perpignan et nous revenons, de notre côté, au programme de ces Trobades 2017.
Trobades 2017, une édition résolument ludique et un programme bien rempli
n plus de la grande parade déambulatoire et du traditionnel marché médiéval, plus que jamais, cette édition 2017 ménage une vaste place à l’aspect ludique et interactif. En voici quelques exemples, tous destinés, bien sûr à vous immerger dans le moyen-âge et l’Histoire, tout en vous divertissant : parcours initiatique pour se faire adouber chevalier, jeu d’évasion et d’énigmes dans un décor médiéval fantastique, jeux de plateau et jeux anciens, jeu de rôle grandeur nature avec les héritiers de Trencavel, jeux de stratégie avec Terra Historica, mais encore Cluedo médiéval autour de la découverte du centre ancien de Perpignan.
Tout au long de ces deux journées, il y aura aussi, bien entendu, de nombreuses animations permanentes dans le centre historique de la cité catalane entre théâtre de rue, musiques anciennes, danses d’époque, spectacles équestre et encore camps dédiés à la découverte de la vie militaire et de l’artisanat au moyen-âge. La liste des compagnies médiévales, mesnies de combattants, mais aussi artistes ou musiciens attendus à Perpignan ce week end, pour faire vibrer ces Trobades 2017, suffit, à elle-seule, à présager d’une belle intensité festive et d’un grand divertissement.
Bocs de Biterna – Tartaruga Teatro – Les tanneurs de Drac et Artémuses – Les troubadours de OGME – La Compagnie Gueule de Loup – Les Haras de la Soulsoure – La Compagnie du Paladin – Les Fauns – Les troubadours de l’amour – Cie de danse Comha – Le club Médiéval du Lycée Pablo Picasso – Le club des lévriers – Les dentellières de Saint-Cyprien – Les Baladins de Ceret – Les chevaliers du roi d’Aragon – Les Compagnons d’Ancelin – Les chiens de Saint-Martin – Les Compagnons du Chêne Ardent – Les Conquérants de Majorque – – La mesnie des Turlupins – L’Ordre des Lames