
Période : moyen-âge, médiéval fantastique
Artiste : Bob Basset (Ukraine)
« Tous les hommes ne sont pas destinés à danser avec les dragons »
“Not all men were meant to dance with dragons.”
George R.R. Martin, A Dance with Dragons
Bonjour à tous,

« Je suis le sang du dragon, ne vous permettez pas de me donner des leçons. »
« i am the blood of the dragon do not presume to teach me lessons »
Daenerys Targaryen – George R.R. Martin, A Dance with Dragons


Sur le site de l’artiste, ces articles, entièrement faits main et tout cuir, vous coûteront autour de la bagatelle de 1500 dollars, (non contractuel et à revérifier) mais le travail réalisé est impressionnant, et puis, n’est pas Targaryen qui veut!
Je ne sais pas s’il propose des réductions au cas où vous décidiez d’en prendre trois pour partir à la conquête d’un hypothétique King’s landing. Quoiqu’il en soit, pour en savoir plus, voici l’adresse de son site web: bobbasset.com. Vous y trouverez ces deux pièces « dragonesques » mais également des créations d’inspiration résolument steampunk qu’il nomme, lui-même: « techno-romantique ». Il y a même une ceinture intégrant un queue de dragon.
Alors, tentés?
En vous souhaitant une belle journée!
Fred
Pour moyenagepassion.com
« L’ardente passion, que nul frein ne retient, poursuit ce qu’elle veut et non ce qui convient. » Publilius Syrus Ier s. av. J.-C.



ous partageons, aujourd’hui, un peu de la poésie de Jean de Meung (Clopinel), en forme de citation morale. Les vers sont extraits du codicille dont nous avons déjà parlé ici. C’est un texte que l’auteur médiéval adresse à ses contemporains en forme d’exhortation morale. Même si on l’a souvent référencé ou confondu avec un autre écrit du poète qui s’appelle le testament, il semble pertinent de les différencier pour s’y retrouver un peu mieux.


eplacés dans leur contexte, ces quatre pieds de vers s’adressent aux puissants, seigneurs, gens « savants » ou religieux face au peuple et aux petites gens. Il y est question de l’importance de leur probité, autant que de nécessaire cohérence entre leurs actes et leurs paroles. Au delà de simplement dénoncer la langue de bois, Jean de Meung les enjoint à être conscients de leur exemplarité s’ils prétendent recevoir en retour respect, crédibilité et même « amours » de ceux qu’ils gouvernent ou vers lesquels ils prêchent. Plus loin, il parlera même de « suivre la voye droite ». Nous sommes donc bien dans une dimension de morale, de justice, et de justesse.
ue les puristes du moyen-âge historique veuillent nous pardonner de faire, aujourd’hui, un incursion dans le XVIIIe siècle, en publiant une musique traditionnelle irlandaise dont il se pourrait bien d’ailleurs, qu’elle ait pour origine une compositeur écossais du nom de William Marshall, mais la tentation était trop forte.
